Maintenant plus d'excuses pour le coup classique du "Ouais mais bon, tu vois quoi, tu comprends, c que..." et ne pas prendre de news. L'ère du Blog sonne le glas de la désinformation institutionnelle (celle des chinois du FBI): maintenant où que tu te trouves sur la planète tu peux savoir ce dont il retourne: Les trépidantes journées de McJanus te sont contées avec fifres z'et tambourins! ;-)

lundi, avril 23, 2007

Quand "affaire" ne rime pas avec "FER"

Argh! Aujourd'hui c'était la journée "pot d'confiture" chez GV. La raison? Un rendez-vous à la fédération des entreprises romandes, la FER.

Je résume le krut, mais voila en gros: nous ne sommes pas salariés de GV, de ce fait nous n'avons droit à aucune rétribution, puisqu'en créant la société on s'est aliéné notre précédent statut d'indépendant.

Du coup, c'est soit on se salarie au risque de mettre GV sur la paille, soit on crève la gueule ouverte en regardant le business florir.

Si si... la réalité de la société matérialo-capitaliste est ainsi faite... Les lois, les impôts et tous les tracas administratifs rappellent sans cesse la puissance du Leviathan! On a beau avoir la rock'n'roll attitude dans le sang, y'a pas grand chose à faire.

L'heure est donc à la réfléxion stratégique chez GV. Être (salarié) ou ne pas être? Et si tel est le cas, qui doit le devenir? Pour le moment, on a pas le droit de se verser un quelconque pécule car sinon l'administration considèrera cela comme du bl*ck et là, on peut se retrouver maAal!

Les discussions préliminaires sont déjà bien engagées... car en plus de décider de notre statut il faudra aussi convenir de notre éventuel salaire... sur lequel on calculera les accomptes que l'on doit payer pour les cotisations sociales... Il faut aussi considérer que certains pourraient acquérir le statut de salarié, alors que d'autres seraient des indépendants au service de GV. Administrativement ca va nous assurer pas mal de soirées-paperasse!

Hum hum. Autant le dire: un beau merdier au niveau du casse-tête...
C'est marrant comme parfois l'esprit d'entreprise peut être minoré par toute la chappe de plomb institutionnelle qui te tombe sur le coin de la g***le à peine on démarre sérieusement.

...M'enfin... Malgré la teinte de découragement (passagère, j'espère), le business continue $a route pai$iblement en attendant d'être $ucé par les percepteur$: demain, direction Lausanne pour l'inauguration d'une succursalle de la BCV! ;)