Maintenant plus d'excuses pour le coup classique du "Ouais mais bon, tu vois quoi, tu comprends, c que..." et ne pas prendre de news. L'ère du Blog sonne le glas de la désinformation institutionnelle (celle des chinois du FBI): maintenant où que tu te trouves sur la planète tu peux savoir ce dont il retourne: Les trépidantes journées de McJanus te sont contées avec fifres z'et tambourins! ;-)

lundi, mars 13, 2006

Hommage à Pierre-Alain Donnier

18 ans...
Parfois je me demande à quoi bon compter les années... Rien, de toute façons, n'arrêtera la course effrénée du temps qui s'egréne... Rien ne calmera la douleur qui saisit mon coeur à chaque fois que j'y pense.

Au compte des années, j'ai aujourd'hui le sentiment d'avoir depuis peu atteint la "majorité". D'ailleurs, ce sont nos 18 ans...

En visitant aujourd'hui, j'ai appliqué une chose que je n'avais jamais faite auparavant.

J'avais pour la première fois vu cela réalisé au Vietnam. Là-bas, les gens brûlent des papiers où sont représentées les choses matérielles et spirituelles qu'ils souhaitent transmettre à leur aïeux et parents décédés. Je l'avais fait à l'époque sur place.
Aujourd'hui, ici aussi.

En résumé:
Love PowaAa!

Cela dit, je me suis aussi demandé si le thé chaud que l'on boit, lorsqu'il fume, et bien les volûtes sont-elles également transmises par la voie des z'Airs?
Tant mieux alors... en cette fin d'après-midi je buvais du thé au Lotus... (et devine doukivnait? )

;'-)





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Vas savoir... là, je pense juste qu''un poëËëme est la meilleur forme possible pour m'exprimer...
(Faudrait voir à pas trop k'j'me prenne au sérieux ;-)
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Alors,
Que dans nos Vies, encore il était tôt,
Le Destin déjà t'attendait, ce salaud!

Dès lors et,
Aujourd'hui encore, 13 mars de l'an nouveau,
Un de plus sur le tableau

Longtemps,
Comment dire, trouver les mots?
Seule l'expression du sanglot...

Dorénavant,
L'existence continuer par mont et par vaux,
Pour à son tour, au Destin, un jour tirer le chapeau!
;'-)


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En conclusion, je tenais juste à écrire une phrase que nous avons échangée avec Tchim aujourd'hui au téléphone. Elle à Chinaillon, moi à Genève. Qu'elle soit ici inscrite à jamais.

"Quand on a touché les abîmes, une colline parait sommet"

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Ca doit faire mal au bide mais au cas ou tes potos sont la mon grand et sache qu'on sera toujours la pour toi mon ami.

9:12 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Hello Jan, ton poême est beau. Beau aussi de voir comme ton papa est tjs présent au sein de sa famille, dans ses deux fils, par vos intérêts, vos activités, par les énergies qu'il vous donne, par ses tableaux, les photos. Comme il vous soude les uns aux autres aussi. C'est sûr qu'ils ont pas faux avec leurs papiers brûlés!

1:30 AM

 

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